L’innovation du marché tertiaire a déjà fait ses preuves et semble loin de s’estomper. Les nombreux dispositifs qui se sont mis en place au cours de ces dernières années - dont les solutions de bureaux flexibles - sont favorables aux nouvelles méthodes de travail.
lire la parutionLa crise sanitaire est encore au cœur des sujets. Comment donner l’envie aux salariés de retourner au bureau ? Est-il même envisageable de penser à un retour massif en entreprise ?
On ne peut répondre avec certitude, toutefois les chiffres ne trompent pas. De plus en plus de travailleurs veulent retourner à une vie normale, assimilée à l’avant covid.
L’innovation du marché tertiaire a déjà fait ses preuves et semble loin de s’estomper. Les nombreux dispositifs qui se sont mis en place au cours de ces dernières années - dont les solutions de bureaux flexibles - sont favorables aux nouvelles méthodes de travail.
La flexibilité apportée au bureau permet désormais de répondre à un plus grand nombre de besoins.
En France 77 % des travailleurs souhaitent conserver le télétravail au moins partiellement, selon une étude Capterra - janvier 2021, .
Afin de répondre à cette hausse et de diminuer l’absentéisme et les démissions multipliées depuis le confinement, des modes de travail plus hybrides ont vu le jour dans la plupart des grandes entreprises françaises. Désormais, 79% d’entre-elles proposent des solutions flexibles selon une étude menée par OpinionWay (entreprise de sondages politiques et d’études marketing françaises).
Tandis que certaines sociétés encouragent leurs employés à revenir sur site, les travailleurs ne sont pas tous de cet avis… Selon une étude réalisée par OpinionWay en septembre 2021, environ 31 % des Français se disent prêts à changer d’employeur en cas de retour intégral en présentiel. De ce fait, le télétravail n’est pas près de disparaître. Les salariés ont connu un certain confort en travaillant à domicile - perçu pour certains, comme inégalé sur site.
Un confort tangible sur le point financier pour quelques-uns également, le télétravail limitant les déplacements et donc la consommation d’essence. Un avantage qui a fait l’unanimité lors de la pénurie et qui se poursuit aujourd’hui compte-tenu de l’inflation. Il en est de même pour l’économie de temps, qui s’explique notamment par l’absence de transport. En effet, la majorité des travailleurs font en moyenne 1h à 2h de trajet par jour pour rejoindre leurs lieux d'activité. Un temps souvent pénible (circulation bouchée ou problème de transports en commun) et pauvre en productivité.
Le télétravail permet ainsi de nouvelles opportunités comme élaborer un nouveau projet, consacrer du temps à sa vie de famille, à ses activités et tâches personnelles, ou simplement pouvoir s’accorder plus d’entractes durant sa journée en quittant son poste un peu plus tardivement.
Le flex office a offert une nouvelle méthode de travail. Elle s'accompagne d'une perspective organisationnelle plus souple. Les espaces sont répartis selon les usages des salariés et contribuent à leur autonomie. À la clé, plus de choix et de logique avec leur manière de travailler et le type de poste qu’ils occupent.
Nombreuses sont les sociétés à vouloir opter pour cette organisation où la qualité de vie au travail est optimisée. La flexibilité opérée dans ce mode de fonctionnement déclenche un sentiment de liberté pour les salariés. Ces derniers ont alors la possibilité de travailler de manière indépendante dans divers espaces : café, espace de coworking, etc.
L’autonomie dont disposent les utilisateurs nécessite néanmoins de faire preuve d’une grande organisation : former et informer quant à la gestion des outils, du matériel requis et des services mis à disposition. Au préalable, une phase de test permettant de limiter toute défaillance dans le procédé est recommandée.
Le flex office est une bonne alternative pour l’employeur. Ce dernier lui permet de moduler et réguler ses m2 au gré de ses besoins et d’offrir à ses collaborateurs une qualité d'aménagement certaine.
Dans un monde du travail en pleine mutation, l’immobilier tertiaire réinvente ses usages en proposant des locaux davantage en adéquation avec les notions de nomadisme, de partage de compétences, d’échange et de transformation digitale.
Une étude de Génie des Lieux (entreprise de services et conseils) démontre d’ailleurs qu’environ 62 % des Français préfèrent travailler en majorité au bureau (3 jours) pour profiter d’une meilleure collaboration. En effet, les locaux sont aujourd’hui considérés comme un outil au service de la performance individuelle et collective.
De plus en plus de bureaux sont aménagés de façon à créer un attachement à l’entreprise avec des open space colorés, des espaces détentes, de loisirs : babyfoots, salle de sport… Le tout permettant de conjuguer facilité d’échange, bonne ambiance et bien-être collectif.
Les nouveaux bâtiments doivent répondre à ces changements. Il est ainsi primordial de repenser l’immeuble tertiaire dans son usage et sa technicité. Les nouvelles structures doivent profiter d’un process réfléchi et maîtrisé qui permettra de concevoir une organisation souple, adaptée au mode de fonctionnement hybride.
L’immobilier d’entreprise a été frappé de plein fouet par la crise du covid. Le télétravail massif a forcé les entreprises à revoir la conception de leurs locaux.
Ainsi, de nombreux entrepreneurs et sociétés ont commencés à s’intéresser à une réorganisation du travail. Avant la crise, les bureaux individualisés étaient largement plus représentés que les espaces collaboratifs. Actuellement, le ratio s’inverse. Les espaces partagés sont au cœur des sujets et permettent de fédérer les compétences professionnelles et contribuer à de nouvelles synergies.
Arthur Loyd, Premier Réseau National de Conseil en Immobilier d’Entreprise, vous accompagne dans la recherche de bureaux permettant l’implémentation d’une organisation flexible à Paris ou en Région.
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